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Message # 28402

Subject: Hello En français: Une nouvelle web

Date: Sat 07/04/07 15:31:25 GMT

Name: Wet Music ca

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Since someone was wondering in a previous post about french or french-speaking people on this Forum, I though I would contribute here to a wetlook novel I wrote a few years ago in Texas, inspired by a real event.

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A deux heures au sud de Dallas, sur la route de Waco, il y a un ranch où les pieds tendres montent en selle pour une journée entre amis ou entre collègues.  Il y en a par dizaines de ces ranchs au Texas; celui-là est loin, mais on le recommande chaudement en ville.

 

La ballade qui vous y emmène laisse rapidement derrière elle la ville et ses banlieues.  Elle s’étire ensuite longtemps sur des routes droites le long de grands domaines cultivés, le genre d’exploitation agricoles auxquels les grands troupeaux bovins firent la vie dure dans le Midwest mythique...

 

Mais après, le paysage devient valloneux, la route ondoie, les champs font place aux savanes, les bœufs à longues cornes Longhorns parsèment les étendues devant soi, et les maisons à la fois ostentatoires et rustiques coiffent les collines.

 

Après quelques bornes d’un chemin pierreux, vous arrivez chez vos hôtes qui reçoivent votre groupe en toute simplicité.  D’abord Shari, blonde et burinée cow-girl dans la quarantaine, vous parle de son domaine et vous fait visiter la maison.  Elle évoque la ballade, qui vous emmènera de savane en forêt de cèdres, en passant par le ruisseau à gué, et enfin, à l’étang bordé de foin doré et de saules ombrageants où vous taquinerez mollement la truite. Puis, elle vous présente votre guide Chad, premier garçon cow-boy du ranch, un grand gars de vingt ans qui éveillera chez les visiteuses romantiques d’ardents fantasmes de jeune paysan timide au cœur pur...

 

On vous présente alors les chevaux, avec qui vous faites connaissance par le regard et la caresse.  Et juste avant de monter en selle, Chad énumère les petites manies de chacun: Beauty qui suit souvent de trop près, Darling qui s’arrête en pleine randonnée pour se gratter la panse sur un buisson, et ainsi de suite.

 

Et puis il y a Black, le mâle dominant du groupe, pas plus fringant à monter qu’un autre cheval, on pourrait dire plus calme, en fait.  Mais depuis qu’on a découvert son caprice à lui, on ne le laisse plus monter par les clientes, seulement par des hommes. Quand, dans la confidence, vous demandez pourquoi à Chad, il évoquera pudiquement cette belle anecdote, dont il savoure intérieurement la fin, seul au couchant, lorsqu’il brosse les chevaux...

 

-=+=-

 

C’était un jour de printemps, et le soleil de midi chauffait bien malgré les nuits froides.   Le ranch recevait un assez gros groupe, une dizaine de cavaliers du dimanche venus du Massachusetts, des gens dans la trentaine, pas trop “City Slickers” bien que plusieurs trahissaient leur inexpérience par leur tenue: un des gars portait des souliers de ville, et quelques-unes des filles étaient en shorts.  Pendant que Shari parlait, Chad jaugeait discrètement une fille du groupe, celle qui monterait Black, fille à la mi-trentaine assurée et à la sophistication un peu tapageuse.  Son regard qui disait « J’en ai vu d’autres ! » intimidaient le cow-boy, mais elle lui rappelait aussi les femmes du “Old South” par ses longs cheveux bruns, bouclés et touffus, ainsi que par sa longue robe beige, d’un coton mince et satiné, ajustée au torse mais qui sous la ceinture tombait en larges plis.  Il la trouvait belle, certes, mais les demoiselles, clientes ou autres, n’éveillaient pas de vrai désir chez ce gaillard qui portait plutôt son affection sur les chevaux et les bêtes.

 

Quand on accueillait un gros groupe comme celui-là, un confrère ouvrait le défilé, et Chad le fermait. Tout au long de la ballade, les gens de derrière conversaient avec Chad, ceux à l’avant avec l’autre cow-boy.  La fille en beige était juste devant Chad, plus occupée cependant à commenter avec répartie la randonnée pour ses amis plutôt qu’à se retourner pour engager la conversation avec lui.  Ce qui ne le gênait pas vraiment, lui qui préférait travailler en silence, à moins qu’on ne s’intéresse à ses histoires de ranchs et de rodéos.

 

A quelques endroits stratégiques, comme aux petites montées qui se font au galop, le collègue à l’avant prenait des photos des cavaliers qu’il appelait vers lui un à un; Chad, lui, fermait toujours la marche.

 

Rendu à la rivière cependant, c’était lui, Chad, qui prenait les photos des gens qui traversaient à gué devant lui, alors que l’autre veillait d’en haut à faire franchir l’escarpement sur la rive opposée.

 

Ce gué est un des beaux moments de la randonnée.  Devant soi la petite rivière, puis tout de suite de l’autre côté une pente abrupte menant à un plateau quelques mètres plus haut.  Non seulement y a-t-il le défi de grimper cet escarpement de quelques mètres tout de suite après avoir guidé sa bête à travers l’eau peu profonde, il y a surtout le charme du lieu: cette rivière ombragée, mouillant une végétation accueillante; et puis sur la gauche, une chute tombant vers soi, creusant un bassin sombre et profond tout près du passage à gué où la bête ne se mouille guère que le jarret.  On traverse au petit galop question d’avoir l’élan requis pour gravir la côte.  L’eau glacée éclabousse un peu les bottes, et surtout rafraîchit l’instant d’une exquise seconde l’air chaud et sec de l’après-midi texan.  On se penche alors sur l’encolure pour la montée et puis hop! on se retrouve sur une savane inondée de soleil qu’on n’avait nullement pressenti d’en bas : voilà soudain un tout autre paysage où la rivière et la chute ne sont plus qu’un souvenir à la fois intense et fugace...

 

Ainsi, un à un, après une bravade ou un rire nerveux, les pieds tendres se lançaient devant Chad et son appareil photo, faisant tour à tour frissoner l’eau du gué et débouler les cailloux de la pente raide, puis il disparaissaient au delà de la crête du plateau, entraînés par l’autre guide.  Ne restaient plus là que Chad, qui n’avait pas bougé, et la cavalière en robe beige qui, à son tour, engageait Black dans le gué.

 

Voyant le cheval hésiter un peu sous la commande incertaine de la fille, Chad eu un vague pressentiment que quelque chose clochait, mais il ne dit mot.  Le cheval s’était avancé de quelques pas sur le gué, mais il s’était arrêté au beau milieu du cours d’eau et s’était mis face à la chute. Le cow-boy eu peur que le cheval s’avance vers la cascade pour faire prendre un bain forcé à la fille dans le bassin ; mais Black restait simplement là, en soulevant son sabot de devant comme s’il voulait jouer à éclabousser.  La fille ne s’en fit pas trop; se trouvant ainsi au beau milieu de la rivière face à la chute, elle jugea l’occasion propice à une photo et sortit une petite caméra de son petit sac.  Après un moment, le cheval se retourna de nouveau vers la rive escarpée, comme s’il s’apprêtait à traverser après tout, alors elle rangea son appareil et repris les brides.  Mais Black se mit plutôt à marcher de  coté, descendant la pente douce vers le bassin plus profond: l’eau lui arrivait maintenant au poitrail.  La fille comprit qu’elle avait mal guidé le cheval; elle ne s’inquiéta toujours pas, elle ne lança même pas le “Whoh!” qui immobilise tous les chevaux du monde.  Elle se dit tranquillement qu’en lâchant tout, Black reprendrait simplement le chemin de la piste qu’il suivait à chaque randonnée.  Elle ne pensa même pas à appeler Chad sur la rive derrière elle.

 

Mais le cheval hésita encore, puis continua sa singulière marche de côté.  Et ce faisant, l’eau montait maintenant le long de la botte gauche de la fille.  Elle voulu soulever le pied, mais, retenue par l’étrier, la botte laissa entrer l’eau par le haut.  Saisie par cette fraîcheur soudaine, elle senti venir un pipi, trop longtemps retenu, qu’elle stoppa net d’un petit cri sourd.  Le cheval s’arrêta, mais la fille ne se tournait toujours pas vers Chad, lui qui observait la scène sans intervenir vu que sa cliente ne semblait pas s’énerver... Tout de même, la vue de cette scène insinuait en lui un troublant sentiment...

 

Puis le cheval, comme s’il voulait jouer avec sa cavalière, repris son hésitante marche de coté.  La deuxième botte prit l’eau à son tour, et à nouveau la fille résista à l’envie d’uriner.  Elle pensait « Ils riront bien de moi tout-à-l’heure ! », et que ça n’était pas bien grave ces bottes mouillés; l’eau s’y réchauffait vite, et ça lui ferait une bonne anecdote!

 

Mais le cheval ne s’arrêtait pas de descendre!  Elle vit le rebord de sa robe s’étaler autour d’elle sur l’eau, et bientôt la rivière toucha le haut de ses mollets, juste au dessous du genou, là où c’est plutôt sensible au froid!  Elle serra bien un peu les dents, mais cette eau de plus en plus froide et sa vulve comme engourdie par la chevauchée eurent raison de sa vessie, et elle se laissa aller un peu à travers sa culotte sur la selle de cuir rigide, en regardant droit devant elle.  Toujours pas question d’appeler  le garçon, à qui elle tournait encore le dos : elle était bien trop fière pour cela !  La chaude urine, giclant sous la robe vers l’avant et vers l’arrière par la fente de son sexe écrasée sur la selle, lui fit oublier le chatouillement glacé pinçant ses mollets, et trouvant ça somme toute agréable, elle poursuivit franchement sa miction dont elle entendait tout juste le chuintement par-dessus le bruit de la cascade.  L’odeur acre qui lui parvenait se mêlait bien au bouquet des genévriers et aux senteurs musquées du cheval et de la selle.

 

Le cheval, l’esprit définitivement au jeu, se retourna de nouveau face à la chute.  Son poitrail plus enfoncé obligea la fille à se cambrer vers l’arrière, et alors elle sentit l’eau montante lui mouiller les cuisse et baigner son sexe.  Surprise, mais satisfaite d’être ainsi rincée, elle chercha tout de même à interrompre cette plaisanterie d’un coup sur la bride, craignant de mouiller sa caméra et le haut de sa robe fine et ajustée.  Elle jeta un regard sur ses seins: non seulement les tétines étaient-elles dures et gonflées par le froid de l’eau sur ses jambes, mais les aréoles entières repoussaient le mince rempart du soutien-gorge et de la robe en deux Himalaya miniatures!

 

Alors elle se souvint de Chad, qui entre-temps avait lentement mis pied à terre et s’était rapproché de la rive: il la voyait de profil.  En se tournant vers lui, elle surprit un long regard un peu perdu sur ces seins en fleur. Lui pensait qu’il n’avait jamais regardé une femme de cette façon, surtout pas une cliente!  Il releva les yeux et soutint sans malice le regard de cette fille pendant plusieurs secondes, cachant ses émois comme il le pouvait.  Quant à elle, à la merci de ce cheval la coinçant dans cette rivière, le bas de son corps assis les jambes écartées dans l’eau glacée, frissonnant de toute sa peau, sa robe flottant autour d’elle, la vulve submergée d’eau froide mais encore tiède de l’urine dans sa culotte, elle se sentit soudainement bien vulnérable face à ce garçon, timide mais au sec!

 

Le cheval interrompit cet échange de regards d’une ruade hennissante.  En retombant il enfonça la fille dans l’eau puis la releva, ruisselante, les mains instinctivement rejetées dans le dos pour agripper l’arrière de la selle dans un cri aspiré, bombant ainsi le torse vers Chad.  Elle avait été mouillée jusqu’aux épaules cette fois-ci, et pendant qu’elle reprenait équilibre en haletant, Chad ne put s’empêcher de regarder la chair de poule dans l’échancrure du corsage, les seins roses et tremblants sous le tissu ruisselant, les mamelons proéminents et marrons, la robe faisant des bulles d’air sous chaque rondeur, se plissant sur le nombril, se collant au bas-ventre, révélant le haut d’une culotte de dentelle étroite largement échancrée aux aines. Chad avisa tout cela en une seconde, une très longue seconde... Puis il retrouva le regard défiant de la fille pour un autre bref engagement des yeux.

 

Alors que Chad s’avançait enfin pour rappeler Black à lui, ce dernier fonça tout de go vers le creux du bassin, là où l’eau est la plus profonde.  La fille agrippée au pommeau de la selle fut cette fois submergée jusqu’au cou.  Quand le cheval reprit pied, il était carrément sous la chute.  Désorientée, elle glissa de la selle, tomba dans l’eau.  Quand elle réapparu, elle nageait devant le cheval, suffoquant à cause de cette cascade glacée tombant sur elle. Cette fois, Chad la sut vraiment en mauvaise posture, et prestement il l’avait rejointe dans l’eau.  Trempé, il pensa en un éclair à la sensation troublante qu’il connaissaît déjà, celle de rassembler le bétail sous la pluie chaude d’été, ses vêtements collant sur tout son corps en une lourde langueur, mais ceci était tout-à-fait différent: de se trouver comme ça dans l’eau, les pans de ses vêtements flottant librement sur sa peau, lui donna tout de suite une vague érection, une de ces érections juvéniles qu’un garçon de dix ans éprouve quand il s’étend sur le ventre en appuyant son pubis.  Il rejoint la fille nageant dans le tourbillon, il prit sa main et la tira vers la rive. Ils étaient maintenant tous les deux près du rivage, avec la rivière jusqu’à la ceinture, l’eau dégoulinant de leur menton, de leur bras et de ses seins.

 

Face à lui, elle haletait fort, encore sous le choc du terrifiant instant qu’elle venait de vivre sous la chute.  La barrette qui avait tenu sa longue chevelure bouclée pendait piteusement à hauteur d’épaule, et ses cheveux dégouttaient sur son visage. Chad attendit que le souffle de la fille se calme.  Puis elle repoussa ses cheveux vers l’arrière et rouvrit les yeux.  Elle le vit qui regardait son corsage trempé, dont quelques boutons s’était arrachés ou défaits.  Instinctivement, il porta les mains pour le refermer.  Juste comme il toucha le tissu, elle lui saisit les mains pour l’en empêcher, par instinct elle aussi, mais elle ne les lui rendit pas tout de suite, continuant plutôt à les serrer l’une contre l’autre.  Elle planta à nouveau ses yeux dans les siens, d’un regard encore rude mais avec moins de défi cette fois-ci... Chad vit sa bouche aux lèvres belles malgré le froid qui les pâlissait, mais il ne fit rien vers elle. Il se laissèrent plutôt tomber assis dans l’eau peu profonde du rivage sablonneux, côte à côte, las.  Tout en récupérant, elle tourna la tête vers le rivage, et Chad suivit son regard: il virent Black, le cheval, qui avait regagné la rive, calme et au sec alors qu’ils étaient, eux, assis dans l’eau et baignant dans de troubles émois...

 

Leur respiration s’apaisa et le silence se refit autour d’eux, mis à part le bruit de la chute.  Nul trace des autres cavaliers, qui avaient dû continuer vers l’étang à pêche, convaincus que Chad et la fille étaient rentrés au ranch pour soigner quelque coup de chaleur ou pour réparer la sellerie du cheval...

 

Ils étaient toujours assis dans l’eau, sur le sable, côte à côte... Alors la fille, qui s’appelait Annie, passa la main dans le dos de Chad, et la descendit lentement jusqu’au niveau des reins.  Chad frissonna, et ça n’était pas à cause de son linge mouillé…  Posant son autre main sur la poitrine du garçon, elle le fit se pencher vers l’arrière jusqu’à ce qu’il soit couché de tout son long dans l’eau, la tête et le torse émergeant près du bord.  Ainsi couché il la regarda, le soleil derrière elle le forçant à cligner des yeux, jusqu’à ce que, se penchant sur lui, elle ombragea son visage.  Dans l’eau plus tiède du rivage, tendu et mou tout à la fois, il n’osait pas lever les bras vers elle.  Annie, s’appuyant de chaque coté de lui, laissa tomber son corps mouillé, chaud et froid en même temps, sur celui de Chad frissonnant.  Puis elle laissa simplement sa tête glisser le long de sa joue à lui et elle resta ainsi un long moment, immobile à son tour.

 

Chad sentit sur son visage quelques-unes des mèches longues et bouclées d’Annie, que même le poids de toute cette eau ne réussissait pas à déboucler.  Elles le chatouillaient un peu mais il n’en avait cure.  Il goûtait le poids moelleux de cette fille couchée sur lui: tout son torse respirant doucement, la pression de ses seins dont il sentait très bien chaque masse dure et les mamelons dressés, la partie ferme du ventre juste sous le nombril, l’os pubien qu’il ne pouvait s’empêcher de ressentir sur sa vessie à lui, et la pression oblongue des cuisses qu’elle ouvrait tranquillement pour lui serrer les jambes entre les siennes plongées dans l’eau, ce qui, à travers la robe et le pantalon, lui appuyait doucement sur le pénis son mont-de-vénus brûlant malgré l’eau qui le baignait...

 

Il n’avait jamais rien vécu de tel! N’osant toujours pas bouger, il imaginait son dos à elle, émergé de l’eau, séchant doucement au soleil, le tissu satiné scintillant encore sous la mouillure.  Il devinait sa robe à large plis tombant entre les fesses en épousant leur rondeur par dessus l’étroite culotte de dentelle.  Alors qu’elle restait toujours immobile sur lui, le front appuyé sur le sable à coté de sa joue, il osa une main sur elle, glissa un doigt le long de son flanc mouillé à travers la robe – juste au niveau de la taille.  Il ressentit comme un choc électrique.  Jamais n’avait-il pressenti le plaisir de caresser une femme à cet endroit-là.  Et sans qu’il ne s’en rende trop compte, son membre sous l’eau appuyait un peu plus fort sur le pubis de la fille à travers son jeans maintenant trop serré.

 

Elle ne bougeait toujours pas, silencieuse, détendue de tout son poids sur le garçon, le visage dans le sable. Les deux mains de Chad trouvèrent le coté des fesses, osant à peine les effleurer, et elles remontaient, remontaient, jusqu’à ce qu’elles furent posées côte à côte sur les deux sommets délicieux des fesses pointant vers le soleil.  Là, il ne put s’empêcher d’y refermer les doigts. Serrant les fesses de surprise, elle sentit son bassin basculer vers l’avant, et la vulve chaude glissa encore plus intimement sur le bout du membre coincé dans le pantalon; cette fois-ci le garçon le sentit très bien puisque cette partie de la vulve était beaucoup plus tendre et encore plus chaude! Chad devinait aussi qu’en serrant les fesses d’Annie, il lui avait ouvert la vallée fessière, et il pensait maintenant à la rêche culotte de dentelle qui s’y était sûrement enfoncée, lui taquinant l’anus...

 

Cette prise de fesses sortit Annie de sa torpeur...  Elle releva son visage, regarda un moment le garçon à l’air encore incertain, puis l’embrassa à pleine bouche en fermant les yeux.  Stupéfait, à nouveau aveuglé par le soleil, il referma les yeux à son tour et s’appliqua à suivre la cadence de ce fougueux ballet de langues.  Se soulevant le torse, Annie glissait ses seins sur la poitrine de Chad au gré des embrassades.  Tout à leur baiser, le garçon ne perdait cependant rien de ces trémoussements.  Il lui semblait que les rondeurs molles glissant sur sa mince chemise lissaient les poils de sa poitrine, et que les pointes dures des mamelons effleurant sa peau à travers la robe humide y laissait un sillage de feu.  Il aurait juré que de petites mains avaient poussé de son torse et palpaient au passage ces offrandes ballottantes .  S’enhardissant, ses mains vinrent se placer près des seins qui les frottèrent en ondulant, puis voyant qu’elle ne ripostait pas, il les colla en sandwich l’un sur l’autre, et sans relâcher sa prise il posa ses pouces sur le corsage à l’endroit des tétines un peu ramollies.  Ses mains glissèrent ensuite vers l’avant pour lui comprimer les seins contre le torse.  Sans quitter le garçon des yeux, Annie rejeta la tête en arrière et souleva son torse un peu plus pour lui laisser voir sa poitrine au creux de son corsage défait, toujours soutenus par les paumes de Chad.  Le soutien-gorge dévoilait le dessus des globes couverts de frissons et les mamelons de nouveau durcis sous le mince tissu mouillé.  Sidéré, Chad releva son regard vers les lèvres consentantes d’Annie, puis vers ses yeux approbateurs.  La tête en feu, il hésita un peu, puis du bout des doigts, il écarta les minces bretelles du soutien-gorge, les dégageant des épaules en caressant les aisselles délicates, puis glissa lentement les doigts dans les bonnets, vers le dessous des seins, jusqu’à ce que, doucement libérées, les deux rondeurs aux boutons roses cascadent vers lui au grand jour...

 

(À suivre...)

 

 


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