Wetlook World Forum

Elle n’était pas très bien réveillée, elle avait froid car ce petit matin-là était glacial, elle se sentait légèrement déprimée, elle devait faire une série de lessives, et il lui manquait un bon stimulant tonique et vraiment sympa pour commencer cette journée pas très accueillante de prime abord. Alors, sous le coup d’une brillante inspiration, elle entra dans la cabine douche en gardant sa chemise de nuit.

Sa chemise de nuit, couleur « vert d’eau » soutenu, avec un décor très discret de petites fleurs colorées, stylisées, était quelque peu comparable à une robe-chemisier, avec un empiècement fin façon plastron plat, de couleur unie, et une patte boutonnée jusqu’à la poitrine.

Tout d’abord, pour bien se réveiller et se réchauffer, elle laissa longuement couler une eau assez chaude sur elle et sa ravissante tenue. Le déluge aquatique se mit à modeler le tissu de façon sculpturale sur son corps sans dessous chics. La belle chemise de nuit toute mouillée se plaquait contre son joli petit corps, en brillant comme la matière des parois de la cabine-douche. C’était mignon…

Elle commençait à bien se réveiller et à avoir moins froid…

C’était une fille toujours très propre, portée sur l’hygiène, qui se lavait et se changeait très souvent. Le simple parfum du savon liquide

« senteur tonique », ouvert mais pas encore utilisé, la ragaillardit et

« lui ouvrit l’appétit »…

Il était temps pour elle de se savonner… en chemise de nuit, bien sûr ! Alors elle commença à asperger de savon liquide tout le devant de celle-ci. C’était une petite futée qui n’en était pas à son premier coup d’essai : elle avait installé un miroir derrière la vitre de la cabine, contre le mur carrelé, afin de pouvoir se contempler dans ses vêtements favoris, fréquemment soumis à un « traitement wetlook »…

« Ma belle petite chemise de nuit chérie… » commença-t-elle à murmurer à mi-voix, les yeux fixés sur le plastron traversé en son centre par la patte de boutonnage. « Commençons d’abord par ce petit ventre fleuri… » Elle savonna donc tout le bas de sa tenue, d’abord, puis remonta vers ses manches, avant de s’interrompre un instant pour remettre un peu de savon-gel sur chacune de ses épaules. Puis elle reprit son savonnage en frictionnant ses épaules, tout en fixant son buste. Impeccable, fier, et encore indemne, l’empiècement de sa chemise s’offrait à son regard, avec ses 5 boutons fermés, sagement alignés. « C’est parce que tu es belle et que je t’aime que je dois et que je vais entièrement te savonner. » Elle fit donc couler un fin filet de savon liquide du haut vers le bas sur chaque bouton de l’empiècement, et frictionna son buste pour savonner tissu et boutons…

Elle souriait, ses lèvres entrouvertes, dans un léger état d’excitation, le cœur un peu plus rapide, respirant de manière saccadée en lançant de petits rires discrets mêlés de jouissance contenue. Ses petits seins s’agitaient, son corps ondulait, son vêtement se recouvrait d’un manteau d’écume mousseuse multicolore et changeante…

Son plaisir elle le trouvait à plusieurs niveaux : elle était belle et le savait; elle choisissait toujours de beaux vêtements aussi; ses caresses étaient douces, et le contact avec le tissu et l’eau tiède étaient très agréables aussi. Le savon-liquide sentait bon; elle adorait la sensation du toucher, le bruit de la friction du savonnage, et l’aspect étrange d’une partie savonnée par rapport à une zone encore indemne; elle aimait aussi jouer avec les boutons, les regarder briller, sentir le plastique sous ses doigts quand elle frictionnait tissu et patte, les recouvrir de savon malgré leurs scintillements, les déboutonner puis recommencer un peu plus tard, vers la fin, à savonner dessus une fois la patte ouverte…

« Pauvre, pauvre jolie petite chemise mouillée préférée, et savonnée, et frictionnée, « punie » ou « câlinée » selon le point de vue des plus incertains… assujettie à ma fantaisie mais bien traitée car fort appréciée… » dit-elle en considérant amusée et pensive le résultat…

Fort contente du résultat, elle se fit alors un shampoing, en prenant le temps de le laisser agir, et de se contempler davantage. Puis, enfin, elle se rinça et débuta sa journée de manière beaucoup plus « standard »…