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Wetlook World Forum

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Wetlook-Online
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Message # 13078.1.1.1.1.1

Subject: Read This another one, une autre

Date: Mon 08/11/04 21:33:22 GMT

Name: Anonymous fr

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Wetlook-Online
Elle portait un tee shirt bleu ciel en coton lourd,

un beau vêtement moulant, avec des manches

longues, qui valorisait la finesse de ses bras et

sa poitrine idéalement proportionnée.

Ses jolis petits seins tendaient avec sensualité le

tissu du tee shirt, et au charme du décolleté de

son petit haut et de l'interstice formé par

l'entre-deux de ses seins, s'ajoutait celui d'une

longue patte de boutonnage où scintillaient

12 boutons. Elle portait également un jean blanc

bien serré, qui faisait ressortir le bleu pastel de

son tee, et la douceur de sa matière.

Elle était là, naturellement belle, rayonnante, et

son fiancé fut agréablement surpris de la

retrouver ainsi vêtue.

- Tu sais que, déjà, je t'aime beaucoup, mais si

en plus, tu t'habilles mignonne comme ça, je vais

être obligé de m'occuper de toi tout de suite...

- Oui, mais là, je n'ai pas le temps. J'ai plein de

choses à faire, et puis je dois me changer, faire

une lessive, faire des courses, et...

- Tu veux dire que tu ne vas pas garder ce que

tu portes sur toi aujourd'hui ?

- Non, dès que je rentre, je mets tout à la

machine, je prends une douche vite fait, je me

change et je fais toute la liste de choses que j'ai

à faire...

- Et ça ne peut pas attendre ?

- Si, mais pas plus tard que demain après-midi...

- Alors suis-moi...

- Que veux-tu faire, maintenant ?

- Combler 2 de tes désirs, et un que j'ai

moi-même depuis longtemps...

- Ha oui ?

- Oui oui, tu vas voir...

- En tout cas, il fait chaud aujourd'hui, j'ai

vraiment envie de me rafraichir sous la douche.

- Pas de problème, tu vas effectivement prendre

une douche...

Son appartement à lui n'était qu'à quelques

dizaines de mètres de là...

- Tu veux boire quelque chose ?

- Oui, la même chose que toi, merci...

Il revint avec leur boisson favorite à la main...

- J'ai vraiment très envie de te faire un gros calin,

aujourd'hui...

Il commenca à la serrer par la taille, puis à

caresser lentement son dos.

- Dis donc, il est très doux ton tee shirt, c'est une

belle matière.

- Oui, je l'aime bien pour ça, moi aussi...

- Sais-tu à quel point je t'aime, toi ?

- Hmm, à tes gestes et à ta voix, dans ton regard

et chaque jour, je le devine et cela me bouleverse...

- Vraiment ?

- Vraiment...

- J'ai une faveur étrange à te demander...

- Oui ?

- Un truc un peu bizarre mais tout à fait

inoffensif que j'ai parfois envie de faire depuis

un certain temps...

- Et tu n'as jamais osé m'en parler ?

- Si mais... je voulais aussi attendre le moment

favorable, et là, il est... inespéré...

- Ha oui ?

- Oui, ça ne peut pas mieux tomber...

- Et c'est quoi, ce que tu veux faire ?

- Tu m'as bien dit que tu voulais prendre une

douche ?

- Tout à fait...

- Et mettre ces vêtements au lavage pour en

porter d'autres...

- Exactement.

- Alors ce que je te propose de faire, c'est...

hmm hmm...

- Dis-moi...

- ...c'est de te faire prendre une douche toute

habillée, en te faisant un long calin sous la

douche, en te faisant un shampoing avec tes

vêtements sur toi, en lavant ces vêtements sur

toi, pour de vrai, avec du savon...

- Non ? Tu veux faire ça, toi ?

- Ca me plairait...

- Et tu en as envie depuis longtemps ?

- Des fois, oui, ça dépend de ce que tu portes

sur toi...

- Et aujourd'hui ?

- Ben oui...

- Je suis d'accord.

- Parfait.

- Mais à une petite condition...

- Oui ?

- Quand tu auras fini avec moi, je te choisirai

des vêtements moi aussi, et après mon tour,

ce sera au tien et je m'occuperai de toi.

- Alors c'est d'accord...

***

...Il orienta la douche vers ses seins, puis

dirigea le jet sur les derniers boutons de la

patte, en remontant lentement vers le décolleté

et le milieu du boutonnage. Quelques boutons

du haut étaient ouverts, et l'eau de la douche

perlait sur eux comme du vif argent, en

cascadant sur le tee shirt saturé d'eau, avant de

s'insinuer dans l'espace entre ses seins...

***

Il était tout à son shampoing, et ne s'était pas

encore occupé du tee shirt. Mais la mousse

abondante ne l'avait pas attendu pour dévaler

des cheveux vers les épaules et le haut du

vêtement. Comme la lave d'un volcan, la mousse

avancait sans s'arrêter, recouvrant déjà tout le

haut du tee shirt et le premier quart du

boutonnage.

- Je vais laisser agir le shampoing traitant sur

tes cheveux et m'occuper un peu du reste...

Il commenca par caresser et masser ses épaules

en étalant la matière savonneuse sur le tissu. Il

fut une nouvelle fois agréablement surpris par

la douceur de la matière du tee shirt, et apprécia

le chuintement feutré de l'étoffe sous ses mains.

Puis, il se dirigea vers ses seins, et, posant les

mains sur eux avec douceur, il les caressa et les

recouvrit de savon à leur tour. Manipulant ainsi

la poitrine de sa compagne, il agita la patte

entrouverte du tee, ce qui eut pour effet de faire

scintiller et miroiter une grande partie des

boutons toujours visibles.

- Ils te plaisent, les petits boutons ?

- Plutôt, oui. Sinon, je n'aurais pas acheté ce

genre de tee shirt...

Récupérant une pleine main de mousse de

shampoing, il la posa au beau milieu de la ligne

de boutons et frotta ses mains sur tout le

boutonnage pour le savonner uniformément.

- Comme ça, ça les fera briller...

***

- Bon, tout ça, c'est bien gentil, mais maintenant,

pendant que le shampoing agit, je vais passer

au vrai lavage de ton vêtement, avec un savon

cette fois, et pour de bon...

Il commenca par savonner ses épaules et ses

bras. Au commencement des va-et-vient du savon,

peu de mousse fut produite, mais le tissu commença

à blanchir sous la substance savonneuse, en émettant

un petit chuintement feutré. Alors, avec douceur

mais insistance et efficacité, il savonna la région de ses

seins avec des gestes circulaires. Deux grands ronds

de mousse blanche tâchaient le devant de son

vêtement. La mousse du shampoing avait déjà été

absorbée par son vêtement, qui n'en gardait presque

plus aucune trace, mais maintenant le vrai savonnage

prenait le relai.

Il se dirigea vers son ventre et savonna toute la

partie basse du tee shirt. Rien ne le gênait et le tissu

fut abondamment saturé de savon. Tout ou presque

venait maintenant d'être savonné. Les boutons

semblaient cette fois pouvoir échapper au

traitement standard, mais au dernier moment, le

savon se posa sur le premier des douze...

- On dirait que toi aussi, tu n'es pas indifférent à

la présence des boutons.

- Effectivement...

Le savon, passant et repassant sur les petits disques

scintillants en les barbouillant de matière

savonneuse, les submergea également de

mousse. Les boutons émettaient des reflets au

rythme des passages du savon, comme pour

lancer d'inutiles appels de détresse, interrompre

le traitement qui leur était réservé. Mais le savonnage

du boutonnage fut implacable et intégral, comme il

l'avait été pour tout le reste du tee shirt.

- Cette fois, c'est complet et parfait...

- Je le crois aussi...

- Il ne te reste plus qu'à masser le tissu de ton

tee avec tes mains pour achever son traitement.

Sa matière est vraiment très douce...

- Alors faisons-le ensemble, si tu veux...

- D'accord...

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By Regardsa - fr Mon 08/11/04 21:29:57 GMT

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Les deux amies avaient passé l’après-midi ensemble en allant se promener dans les bois d’agréables collines verdoyantes, ombragées, pleines de senteurs campagnardes, mais très pentues, et elles avaient ainsi du fournir des efforts physiques qui n’étaient pas du tout prévus au départ. Elles avaient compté sur la promesse d’un ami, défectueux au dernier moment, pour occuper leur temps libre, et, ne voulant pas gaspiller un possible moment agréable de ressourcement, avaient finalement choisi une bonne marche.

Le seul problème, c’est qu’elles étaient vêtues de vêtements de ville trop chics, trop chauds, et pas adaptés à l’exercice physique. Elles étaient en sueur dedans, et la poussière du chemin, le pollen des fleurs et des arbres, avaient fini de leur enlever leur première fraîcheur parfumée. Bref : elles allaient devoir se changer (elles étaient soignées et portées sur l’hygiène à tous niveaux).

Cathy portait un pantalon habillé couleur crème, des chaussures de ville noires, un gilet vert anglais, et une chemise à petits carreaux rouges et bleus, discrets, quadrillée de lignes gris chiné et blanches.

Sandra portait un jean blanc, des chaussures gris clair, un chemisier en satin, rose vif, et également un cardigan marron clair.

Elles étaient donc bien habillées, et lorsque Cathy vit toute la poussière qui recouvrait le cuir noir de ses chaussures, elle lança à son amie :

« - Je crains fort qu’il y ait de grandes chances pour que nos petites affaires ne soient pas seulement moites de transpiration, mais également copieusement saupoudrées de poussières diverses ! Tout ça est bon pour la machine à laver, je crois bien…

- Je suis bien de ton avis. Mais je n’ai rien pour me changer, et nous sommes invitées ce soir, ça m’embête bien parce que je ne veux pas retourner chez moi.

- Ce n’est pas un problème, Sandra : je peux te prêter des affaires à moi, tu peux prendre ta douche chez moi, et nous avons largement le temps avant de nous mettre en route pour aller à notre invitation.

- Oui, c’est vrai. Je te remercie pour ton hospitalité, Cathy. Je meurs de chaud, nous avons un peu transpiré, on ne peut pas rester comme ça…

- En effet… Je te proposerai bien une solution très inattendue pour régler tous ces petits problèmes en même temps, d’une manière originale et pas désagréable, seulement j’ai peur de te choquer, ou même que « tu me jette » carrément…

- Ha bon ? Pourquoi ?

- Oh, il n’y a rien de vulgaire ou d’irrespectueux dans ce que je m’apprête à te faire découvrir, seulement voilà : c’est méconnu, inhabituel, fantaisiste, même si c’est aussi ludique, esthétique, sensuel et très relaxant…

- Hmm ! Tu as l’art d’amener tranquillement les choses, toi. Tu as piqué ma curiosité. Tu es obligée de me dire la suite, maintenant, ma chère.

- As-tu déjà entendu parler du wetlook ?

- Non, je ne vois pas ce que c’est…

- …Euh, bon, c’est pas grave. Tu sais, à la télé, parfois, il y a des jeux d’aventure où des équipes doivent passer des épreuves physiques, sportives, pour se départager. Il y a des parcours avec des obstacles, de l’eau, et les équipiers restent habillés. As-tu déjà vu ce genre d’émissions ?

- Oui, au moins de petits bouts, en changeant de chaîne, ou lors des bandes-annonces entre deux diffusions d’autres programmes.

- Et tu as trouvé ça comment ? Ca t’a plu ?

- Il y a souvent un bel effet visuel, mais je crois qu’il faudrait demander leur avis à ceux qui étaient mouillés tout habillés… ! Quoi que si ils l’ont fait, c’est qu’ils étaient d’accord…

- Ne crois-tu pas que plutôt qu’avoir l’opinion des autres, mieux vaut essayer de se faire la sienne en propre ? Comment savoir sans avoir jamais essayé ? Les goûts sont tellement différents, et l’expérience est tellement différente des idées préconçues ou de la théorie; ...des faux interdits, aussi…

- Oh toi, tu es en train de me vendre une douche toutes habillées, toutes les deux, si je comprends bien…

- Même pas cap ! Et pas envie de connaître de délicieuses sensations ? Et de t’amuser un peu ?

- Si, pourquoi pas !

- Bon, alors déchausse-toi, et direction la salle de bain. C’est parti ! Je vais t’initier, et ensuite je te passerai les commandes à tout tour…

***

L’eau coulait à présent sur la chemise rouge et bleue de Cathy. Rouge moyen et bleu roi tant qu’il était sec, le tissu se mit à devenir rouge bordeaux et bleu nuit, et à briller d’une jolie façon… Cathy se mit à diriger le jet de la douche sur son amie pour tremper son chemisier rose à son tour. « Ohhh ! » lança Sandra avec surprise et un plaisir non retenu, en découvrant la sensation si particulière.

« - Ah oui, c’est pas mal en effet… ! » reconnut-elle avec intérêt. « …et puis tu es mignonne comme tout dans ta belle petite chemise mouillée… »

« - Tu verras que le savonnage rajoute une dimension inattendue, tout autant esthétique que sensuelle… »

« - Mais tu ne m’avais pas dit qu’en plus… !

« - C’était pourtant logique, ma chérie ! Tu n’utilise pas de savon pour te laver ou laver ton linge, toi ?

« - Si si, mais…

***

Cathy venait juste de faire couler une grande quantité de savon liquide sur ses épaules, son col et une partie de son buste, et commençait à frictionner sa chemise pour la savonner et faire mousser le savon le plus possible…

A l’instant où elle commençait à frotter le petit col fin à pointes boutonnées, elle s’interrompit pour le déboutonner, puis reprit le frottage de son col dans tous les sens, par-dessus et par en dessous, sa gorge chatouilleuse et toute riante de plaisir se remplissant d’une mousse sur-abondante qui recouvrait tout. Sagement alignés, les 6 boutons blancs de la poitrine, dont la présence était rehaussée par leur contraste avec le tissu mouillé beaucoup plus sombre à présent, attiraient bien malgré eux tous les regards… Tandis que d’une main elle faisait couler le savon liquide au beau milieu de son buste, de l’autre elle l’étalait et savonnait au fur et à mesure sur la plus grande surface possible de tissu, pour répandre le gel avant que le tissu ne l’absorbe trop vite à un seul endroit. Puis, elle se mit à frictionner une main sur sa chemise tout le long de son boutonnage, tandis que de l’autre elle déposait un peu de gel sur chaque bouton…

***

« - A ton tour… Ton chemisier est superbe. Ne t’en fais pas, je ne vais pas te l’abîmer… »

Le tissu était plus délicat, et plus fin, presque transparent. Les sous-vêtements de Sandra se devinaient à travers le satin mouillé. Avec beaucoup de douceur, Cathy commença à répandre du savon-gel d’une main, et à frotter de l’autre. Puis bien vite, elle dit :

« - Et bien voilà, tu as fait le premier pas. Je te passe donc les commandes, maintenant. Tu vas pouvoir travailler tes sensations et laisser libre court à ton inspiration…

 

(à suivre… !)

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By Anonymous - fr Mon 08/11/04 21:24:41 GMT

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Elle portait un pantalon imitation cuir, noir, et un

polo beige. Elle devait passer au club de tennis, et

avait choisi de s'habiller à la fois sportswear et un

peu sensuelle, sans avoir à se changer entièrement

et sans porter ce change.

Le noir du pantalon et le blanc cassé du polo

contrastaient bien.

Pour raffiner sa vêture, elle portait ce jour-là une

petite chaîne et un pendentif qui tintaient sur les

boutons de la patte du polo au moindre de ses

mouvements. D'autre fois, elle ouvrait tout le col

et y glissait un petit foulard en soie, pour l'embellir

et valoriser le boutonnage sans le dissimuler.

***

Le match de tennis allait commencer. Elle quitta sa

chaîne, défit tous les boutons du col, et plaça un

bandeau en éponge sur son front avant de

commencer à jouer...

***

Elle jouait de mieux en mieux, et son adversaire,

un ami du travail, perdait nettement l'avantage.

Mais tous deux commencaient à avoir chaud, et

elle transpirait abondamment. La sueur collait le

polo sur sa peau. Elle tira sur son col pour

décoller le tissu, et agita son décolleté pour

ventiler et refroidir illusoirement son corps, mais

elle avait bien trop chaud. Alors elle attrappa

une bouteille d'eau minérale, et commenca à en

verser sur sa nuque, puis son front. L'eau perla

sur son visage, coula de son nez et de son

menton sur son polo, commençant à tremper un

peu le col. Elle s'assura qu'il était déjà ouvert pour

la énième fois, mais, toujours dans son petit

coup de chaud, cela ne suffisait pas...

Elle ne se déconcentra pas. Elle jouait de mieux en

mieux. Elle se battait comme une lionne et

transpirait de plus en plus. Disputant un point

difficile, sans lâcher la pression ni céder, elle

poussa un cri de joie en remportant le set, et se

laissa tomber dans la chaise en lâchant un soupir

de détente et de bien-être avant de reprendre le

combat. Mais il lui fallait se raffraîchir efficacement

pour tenir un tel rythme. Alors elle prit une

nouvelle bouteille et en vida un tiers sur sa tête,

et, tout en gémissant de plaisir et de satisfaction,

arrosa sa gorge, ses épaules, le col, la patte et tout

le haut de son polo.

***

Le match était enfin terminé, et, bien sûr, elle

l'avait brillamment remporté. Elle n'aurait jamais

imaginé se battre si rudement ce jour-là, pensant

jouer un simple match amical, mais s'étant laissée

prendre au jeu par pure bravade... Le résultat était

qu'elle n'avait rien prévu pour se changer, pensant

attendre d'être arrivée à la maison pour le faire...

Son polo était trempé de sueur et plein de sel. Pas

question de s'asseoir dans sa voiture dans cet

état...

Alors, une idée lui passa par la tête...

***

Elle se dirigea vers les douches et entra dans une

cabine. Elle portait toujours son polo lorsqu'elle

ouvrit l'eau chaude. Elle se plaça sous le jet à

pleine puissance en commencant à chanter la joie

de sa victoire et le délice aquatique qui s'abattait

sur elle. Le polo fut trempé en un instant et se

gorgea d'eau. Il se plaquait contre sa peau et son

corps et se mit à briller comme le carrelage sur les

murs.

***

Elle sortit le gel douche, déposa deux doses

généreuses du liquide sur ses épaules, et se mit en

devoir de les frictionner comme il convient, pour

répartir uniformément le gel avant qu'il n'ait le

temps de s'infiltrer au plus profond d'une zone trop

réduite. Ses gestes vifs effleurèrent le col mais son

heure ne venait que l'instant d'après. Elle versa

une belle quantité de gel dans l'une de ses mains,

en partagea la moitié dans l'autre, et posa celles-ci

sur le col pour l'y étaler sommairement avant de

procéder à la véritable suite...

***

Elle chantait en se savonnant dans son polo qu'elle

aimait bien. Le col était blanchi par la mousse de

savon, mais les mains, dans leur incessant

va-et-vient, avaient jusque-là épargné la petite zone

rectangulaire à double épaisseur de tissu, surpiquée

et impeccablement rectiligne où brillaient les 3

boutons sagement alignés. Elle s'arrêta de chanter

un instant. Elle prit le flacon de gel douche et en

versa sur les boutons, puis frotta sa main sur eux

pour les savonner à l'image du col, en se remettant

à chanter de plus belle, car elle était contente

d'avoir entièrement savonné le polo et son joli petit

col avec. Les centaines de petites bulles aux

irrisations multicolores et changeantes naissaient

et se volatilisaient sur le nuage de mousse de savon

qui recouvrait ses épaules, le col, les boutons, la

poitrine où ses petits seins commençaient à pointer...

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By Anonymous - fr Mon 08/11/04 21:22:17 GMT

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Le chemisier noir qu'elle portait s'harmonisait

parfaitement avec le teint de sa peau et le brun foncé

de ses cheveux, soyeux, mi-longs.

A chaque fois qu'elle bougeait un peu sa tête, ses

cheveux se balançaient et retombaient sur le col.

Ses vêtements étaient parfaitement ajustés, et

moulaient joliment les formes de son corps. Son jean,

noir, était agrémenté d'une ceinture, noire elle aussi...

Une touche de lumière était apportée par la grande

boucle de ceinture, argentée, positionnée dans

l'alignement des huit boutons blancs qui fermaient le

devant de son chemisier.

 

Ce soir-là, elle avait une idée étrange. Il faisait très

chaud, et elle avait décidé d'essayer le wetlook, une

invention venue des pays anglo-saxons...

 

Elle ouvrit la douche, et l'eau se mit à cascader sur son

chemisier en le saturant très rapidement, ce qui le fit

très joliment briller, tout en le plaquant un peu plus

contre sa peau. La couleur sombre du tissu, et les

reflets argentés de la lumière, étaient du plus bel effet.

Ce à quoi s'ajoutait le scintillement des boutons.

Elle se mit à masser doucement ses seins, puis,

progressivement, se caressa à travers son corsage,

passant ses mains partout...

Puis elle attrappa un savon à main, et se mit à

savonner tout le devant de son chemisier noir.

Assez rapidement, le frottement du savon sur le tissu

se mit à produire des traînées blanches, qui

ressortaient vivement sur le noir, et se mêlaient aux

reflets argents de l'eau. Elle savonnait avec vivacité et

énergie, ce qui agitait toute sa poitrine, faisait rebondir

ses petits seins, et miroiter les boutons blancs de son

corsage. La couleur contrastante de ces derniers, qui

faisait qu'ils tombaient immanquablement sous le

regard, ne leur évita nullement de recevoir les visites

répétées et énergiques du savon, comme la totalité

de son chemisier. Ainsi, le col, les épaules, le

boutonnage, les manches et les poignets de sa belle

tenue eurent droit à un savonnage insistant et

méticuleux, sans aucune concession. La virulance du

lessivage du corsage apparut dans sa plénitude

lorsque la noirceur initiale de l'étoffe disparut au profit

d'une abondante mousse blanche, aux milles reflets

irrisés multicolores, mousse de savon qui recouvrait

aussi les huit boutons tout en leur enlevant le

monopole de la couleur blanche et des scintillements.

 

Assez contente de ce résultat, elle posa son savon et

se mit à frotter son chemisier, en passant ses mains

sur tout ce qu'elle venait de savonner. Cela lui

procura un certain plaisir, car tout à la fois, elle se

lavait, lavait son corsage, le regardait en détail,

sentait sous ses mains chaque couture, chaque

bouton, chaque surpiquage, chaque pièce de tissu,

augmentant la quantité de mousse sur son chemisier,

tout en massant son corps et en se faisant du bien...

 

Le chemisier était dans un état troublant lorsqu'elle

s'arrêta enfin. Elle en défit les boutons et le quitta un

instant pour achever de laver à la main le tour du col

et les dessous de bras.

Elle réenfila et reboutonna son corsage plein de

savon, puis ouvrit l'eau de la douche pour se rincer.

Son adorable tenue retrouvait son état premier, la

fraîcheur et la propreté en plus.

De nouveau, le noir profond de l'étoffe dominait,

comme une nuit habillant son joli corps. Le tissu,

plaqué contre sa peau, brillait comme de l'onyx. De

nouveau, les huit boutons scintillaient sans

concurrence sur le devant de son chemisier.

 

Elle sortit de la douche et se dirigea sur la terrasse.

Il faisait plus de 32 degrés... Dans quelques dizaines

de minutes, toute trace de cette douche toute

habillée aurait disparue...

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By Anonymous - fr Mon 08/11/04 21:20:17 GMT

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Elle n’était pas très bien réveillée, elle avait froid car ce petit matin-là était glacial, elle se sentait légèrement déprimée, elle devait faire une série de lessives, et il lui manquait un bon stimulant tonique et vraiment sympa pour commencer cette journée pas très accueillante de prime abord. Alors, sous le coup d’une brillante inspiration, elle entra dans la cabine douche en gardant sa chemise de nuit.

Sa chemise de nuit, couleur « vert d’eau » soutenu, avec un décor très discret de petites fleurs colorées, stylisées, était quelque peu comparable à une robe-chemisier, avec un empiècement fin façon plastron plat, de couleur unie, et une patte boutonnée jusqu’à la poitrine.

Tout d’abord, pour bien se réveiller et se réchauffer, elle laissa longuement couler une eau assez chaude sur elle et sa ravissante tenue. Le déluge aquatique se mit à modeler le tissu de façon sculpturale sur son corps sans dessous chics. La belle chemise de nuit toute mouillée se plaquait contre son joli petit corps, en brillant comme la matière des parois de la cabine-douche. C’était mignon…

Elle commençait à bien se réveiller et à avoir moins froid…

C’était une fille toujours très propre, portée sur l’hygiène, qui se lavait et se changeait très souvent. Le simple parfum du savon liquide

« senteur tonique », ouvert mais pas encore utilisé, la ragaillardit et

« lui ouvrit l’appétit »…

Il était temps pour elle de se savonner… en chemise de nuit, bien sûr ! Alors elle commença à asperger de savon liquide tout le devant de celle-ci. C’était une petite futée qui n’en était pas à son premier coup d’essai : elle avait installé un miroir derrière la vitre de la cabine, contre le mur carrelé, afin de pouvoir se contempler dans ses vêtements favoris, fréquemment soumis à un « traitement wetlook »…

« Ma belle petite chemise de nuit chérie… » commença-t-elle à murmurer à mi-voix, les yeux fixés sur le plastron traversé en son centre par la patte de boutonnage. « Commençons d’abord par ce petit ventre fleuri… » Elle savonna donc tout le bas de sa tenue, d’abord, puis remonta vers ses manches, avant de s’interrompre un instant pour remettre un peu de savon-gel sur chacune de ses épaules. Puis elle reprit son savonnage en frictionnant ses épaules, tout en fixant son buste. Impeccable, fier, et encore indemne, l’empiècement de sa chemise s’offrait à son regard, avec ses 5 boutons fermés, sagement alignés. « C’est parce que tu es belle et que je t’aime que je dois et que je vais entièrement te savonner. » Elle fit donc couler un fin filet de savon liquide du haut vers le bas sur chaque bouton de l’empiècement, et frictionna son buste pour savonner tissu et boutons…

Elle souriait, ses lèvres entrouvertes, dans un léger état d’excitation, le cœur un peu plus rapide, respirant de manière saccadée en lançant de petits rires discrets mêlés de jouissance contenue. Ses petits seins s’agitaient, son corps ondulait, son vêtement se recouvrait d’un manteau d’écume mousseuse multicolore et changeante…

Son plaisir elle le trouvait à plusieurs niveaux : elle était belle et le savait; elle choisissait toujours de beaux vêtements aussi; ses caresses étaient douces, et le contact avec le tissu et l’eau tiède étaient très agréables aussi. Le savon-liquide sentait bon; elle adorait la sensation du toucher, le bruit de la friction du savonnage, et l’aspect étrange d’une partie savonnée par rapport à une zone encore indemne; elle aimait aussi jouer avec les boutons, les regarder briller, sentir le plastique sous ses doigts quand elle frictionnait tissu et patte, les recouvrir de savon malgré leurs scintillements, les déboutonner puis recommencer un peu plus tard, vers la fin, à savonner dessus une fois la patte ouverte…

« Pauvre, pauvre jolie petite chemise mouillée préférée, et savonnée, et frictionnée, « punie » ou « câlinée » selon le point de vue des plus incertains… assujettie à ma fantaisie mais bien traitée car fort appréciée… » dit-elle en considérant amusée et pensive le résultat…

Fort contente du résultat, elle se fit alors un shampoing, en prenant le temps de le laisser agir, et de se contempler davantage. Puis, enfin, elle se rinça et débuta sa journée de manière beaucoup plus « standard »…

In reply to Message (13078) Read This French story, histoire en français

By Regardsa - fr Mon 08/11/04 21:16:26 GMT

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Nous étions toujours tous ensemble, et encore ce début d’après-midi-là, lorsque deux des filles et moi-même avions décidé de nous mettre à la vaisselle, tandis que les deux autres garçons aidaient l’autre fille à assembler notre zodiac entièrement démontable.

Comme la veille nous avions fait une fête de notre cru, c’est la vaisselle de deux repas qui s’était accumulée, car au petit matin personne ne s’était « collé » à celle de la veillée, et celle de ce midi venait de s’ajouter…

Cela faisait dix minutes qu’Annette savonnait les assiettes, quand tout à coup Joanie lui demanda de garder son énergie pour la suite, car elle n’arrivait pas à les rincer et à les essuyer aussi vite, et la cuisine s’encombrait.

« - Hé Annette, ralentit un peu ! Garde tes forces pour la lessive d’une semaine qu’il nous faudra bien commencer à faire tout à l’heure…

- Ho mais je peux t’aider à la commencer tout de suite, la lessive, si tu veux… » répliqua-t-elle avec un petit rire malicieux. Saisissant à toute vitesse une éponge neuve et propre en versant une grande quantité de liquide-vaisselle dessus, de l’autre main elle remplit et jeta en un éclair un verre d’eau claire sur le tee-shirt de Joanie, commençant aussitôt à frotter le devant avec l’éponge… Joanie, qui portait ce jour-là un beau tee-shirt bleu ciel avec une patte tunisienne, resta stupéfaite un instant, le tissu trempé plaqué contre sa peau, tandis qu’Annette la savonnait toute habillée… Annette avait choisi de porter un cardigan sympa à même la peau, qui lui allait fort bien lui aussi…

- Alors là, tu vas me le payer ! s’écria en riant Joanie. Un instant elle donna l’impression de battre en retraite vers la salle de bain, mais son but avait été de s’y emparer d’autres munitions savonneuses pour prendre sa revanche…

Tandis qu’Annette riait comme une perdue, en proclamant à qui voulait l’entendre « Je ne l’ai pas ratée, la petite Joanie… », sa malheureuse victime avançait, silencieuse telle une panthère, une bouteille de shampoing ouverte à la main. En un éclair, elle en versa une grande quantité sur le cardigan d’Annette, qui malgré sa méfiance n’avait rien vu ni entendu venir…

J’étais « tous yeux » et fort réjoui : un beau duel de copines, joliment habillées à mon goût, s’offrait à moi, et mon caméscope prêt à l’emploi était sur la table : je ne loupais presque rien du début des « hostilités »…

Annette reprit son éponge et recommença à savonner le tee-shirt de Joanie, frottant son éponge pleine de détergent sur les douze boutons de la patte, au plus bel emplacement du tee-shirt…

« - Petite peste, va ! » lança avec bonne humeur Joanie, effectuant une clé d’art martial fort adroite pour mettre sa meilleure amie au sol, avant de s’asseoir sur ses jambes pour l’immobiliser et de verser une très grande quantité de shampoing, de bas en haut sur le joli petit cardigan, tout boutonné devant lui aussi, pour le savonner à son tour. De ses petites mains fines, elle savonna tissu et boutons sans hésiter, transformant le ravissant top de sa copine en une masse savonneuse presque indistincte… C’était mignon comme tout… !

Puis tout à coup, le combat prit un autre tour et cessa, pour se transformer en une étonnante séance de massage. Tour à tour, chacune des filles versait une nouvelle quantité de savon liquide sur le vêtement de l’autre, mais en utilisant cette substance comme si il s’était agi d’une huile de massage, pétrissant soigneusement le vêtement pour masser à travers lui le corps qui le portait, prétexte astucieux pour continuer à savonner et faire mousser davantage tout le devant de leurs jolis habits…

Vers la fin du « round », Annette réussit cependant à se dégager pratiquement entièrement, et deux ou trois autres fois, je pus voir deux paires de mains courir sur le tissu et les petits boutons des jolis vêtements de l’une et de l’autre, pour finir de vider les flacons de gels sur poitrines et boutonnages, tout savonner et tout faire mousser autant que possible…

Tout finit rapidement sous une douce de rinçage, avec rires et chants, puis l’étendage des jolies petites affaires, avant de continuer nos vacances de façon plus sérieuse mais non moins agréable…

Ce fut vraiment un quart d’heure délirant, et mon caméscope immortalisa l’instant pour notre plus grand plaisir. C’est souvent que nous nous repassons ce souvenir-trophée de notre dernière escapade entre amis et amies de cœur…


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